cause this is the life. C'est pas vraiment mon genre de parler de moi mais, si c'est obligé alors … Euh, je commence par quoi ? Dire qui je suis, d'accord. Je m'appelle Andrew Lyndon Caldwell. J'ai le nom de famille de ma père car mon père, je ne le connais pas. Je suis né et j'ai grandit dans le Sud de Los Angeles. Avec ma mère bien sûre et les hommes qu'elle ramenait à la maison. Pas de sœurs, pas de frères. Fils unique, quoi. Ce qui est plutôt une bonne chose. Ça aurait été une erreur d'élever plusieurs enfants dans une situation pareille. Je déteste parler, raconter ma vie à des étrangers, même à des gens que je connais. J'aime pas trop la compagnie d'ailleurs. J'ai 21 ans depuis le 31 octobre my dirty little secret. J'ai tenue pour la première et dernière fois de ma vie une arme que j'ai pointé en direction d'un c*nnard. Cet acte m'a valut trois années dans un centre de détention pour mineur dans le Middle West

dreams are made of. Je m'appelle Caroline, j'ai 18 ans et j'ai découvert ce forum sur PRD. Pourquoi j'ai choisi de m'y inscrire ? Et bien tout simplement parce que ja cherchais un forum qui m'allait l'air bien et sans prise de tête. Deplus, l'histoire ne se passe pas à New York ou Beverly Hills mais en Louisiane. L'endroit d'Amérique qui me fait le plsu rêver. Vous voyez le mec super sexy sur mon avatar ? Et bien, c'est le sexy Matt Lanter. Je vous avous qu'en regardant la signature, je me suis dis " mais pourquoi y'a pas un mec comme ça qui vient sonner à ma porte ?". C'est la première fois que je joue avec lui. En général quand je prend des mecs c'est Adam Brody, Alex Pettyfer, Ben Barnes et niveau femmes: Mila Kunis, Minka Kelly ou Megan Fox, que des brunes en faite. Je voudrais juste me permettre de dire que je trouve qu'il manque de lieux.

« Oh mon dieu ! S'il te plait chéri pose tout de suite cette arme ! » C'était le première chose que la mère de Andrew avait pu dire. Encore une fois, l'homme avec qui elle était avait levé la main sur elle. Andrew, était allongé sur son lit, d'habitude, il ne disait rien, mais cette fois ci, il ne pouvait pas rester sans rien faire. C'est sa mère. Et il avait prévenu ce Earl que plus jamais il ne la frapperait. Le jeune homme s'était levé tout doucement au milieu de la nuit. Il s'était avancé dans le couloir et avait glissé sa main dans la poche de la veste de cet homme. Il savait très bien qu'il avait toujours une arme sur lui. Il resta sur le pas de la porte donnant sur le salon. Ils étaient là, tous les deux. Earl avait violemment saisit Alicia par le bras. Cette dernière, ayant aperçu son fils esquissa un sourire. Sauf que Andrew savait exactement ce qui se passait. Elle avait toujours cet air et ce sourire lorsque tout allait mal. Surement pour protéger son fils. Sauf qu'il n'avait plus quatre ans et savait quand les choses allaient mals. « P*tain lâche ce flingue ! T'es complétement dingue ou quoi ? » Il avait donc fallut que Andrew aille aussi loin pour que cet homme lâche sa mère. S'il l'avait su plus tôt, ça fait longtemps qu'il se serait muni d'une arme « S'il te plait calme toi Andrew, ne fait pas ça » « Lâche ça t'as compris, c'est pas un jouet pour les mecs comme toi... Tu penses que tu vas faire quoi ? Me tirer dessus hein, t'as pas les couilles pour » « S'il te plait Earl, arrête de le provoquer. » Elle fit un pas en avant, s'approchant de Andrew mais s'arrêta net lorsqu'il releva l'arme et la pointa en direction de Earl. « S'il te plait chéri, Andrew, pose ce truc. Ecoute, ne fais pas ça, ne fait pas cette erreur. Earl, il est juste énervé, tu comprends, il va se calmer dans la minute qui vient » Elle lança un regard à Earl essayant de lui faire comprendre qu'il devait se calmer car Andrew semblait incontrôlable. « N'est-ce pas Earl ? Hein, t'es plus en colère » Earl, s'avançant d'un pas décidé vers le jeune homme, la main en avant dans le but de lui retirer l'arme. « Rends moi ce tr... » Un bruit sonore retentit dans le salon et une flaque de sang sortant du corps du quadragénaire s'étala sur le tapis couleur crème. « Oh mon Dieu, Andrew … » La jeune femme sanglotant regarda son fils d'un air dépité « Mais, mais qu'est-ce qui t'as pris, pourquoi t'as fais ça ? » Andrew laissa tomber l'arme de ses mains et releva la tête en direction de sa mère. Elle s'approcha de lui et le serra dans ses bras, tentant de le consoler. Andrew ne laissa pas échapper un seul mot de sa bouche.

« En prison ? Vous allez envoyer mon fils en prison ? ». Alicia s'était levé de son siège. Elle le savait, elle savait que c'est ce qui allait arriver. Mais l'entendre de la bouche du juge était différent. Ça faisait trois mois qu'ils étaient sur cette affaire. A réfléchir de ce qu'ils allaient faire d'un gamin qui avait voulu secourir sa mère. Ils ont appelé cela de la légitime défense alors que c'en était pas puisque Andrew n'était pas celui visé. Sûrement pour le protéger et lui éviter une peine trop lourde. « Calmez-vous madame Blackwell » « Étant coupable du meurtre de Earl Benjamin Lane, l'accusé est condamné à passer les trois prochaines années dans le centre de détention pour adolescents de la ville de Milwaukee, dans l’État du Wisconsin. La séance est levé ». Le juge se leva et quitta la salle laissant toutes les personnes présentent entre elle débattre de la sentence. « T'en fais pas maman, je vais bientôt revenir, ça va pas durer longtemps, t'entends. » Andrew marchait en direction du couloir, les menottes aux mains. Était il un criminel maintenant ? Non, il avait juste protégé sa mère. Si seulement elle avait su prendre ses responsabilités seule, sans que son fils de quinze ans lui dise ce qu'elle doit faire ou non, ce ne serait jamais arrivé. Il allait donc passer trois ans dans un centre pour délinquants juvéniles. Trois ans, ça peut paraître long … mais ce n'est rien comparé à ce qu'il aurait pu écoper s'il n'était pas aussi jeune, et si l'arme qu'il avait utilisé n'était pas celle de Earl, ou plutôt celle qu'il avait volé à un agent de police qu'il avait laissé mort dans les ruelles du Sud de Los Angeles. Cet homme était vraiment un s*laud, recherché par la police. Andrew pouvait donc se conforter en se disant qu'il avait fait une bonne action.